Nom & Prénom

Nom: Zeld

Prénom: Céran

Âge : 25 ans

Race: Assassin (Humain)

Arme: Épée

Clan : Les ombres

Description

• Physique :Il est plutôt grand, mesurant dans les 1m80. Il a des cheveux longs tirant sur le violet, mais restant foncés. Son visage est fin et pale, ses yeux en amandes sont bleu ciel. Il porte un collier en argent au bout duquel on trouve une plaque en métal avec une suite de numéro. Il porte aussi une bague en acier sur la main gauche, où sont gravés à l’intérieur des initiales. Plutôt musclé, son corps est parsemé de cicatrice, plus ou moins marquées. Il possède deux tatouages dont un dans la nuque représentant un croissant de lune entouré d’un serpent, et l’autre se situe au niveau de poignet gauche représentant un œil. Les seuls vêtements qu’il porte sont noirs, il aime porter des tenues amples et longues, il met souvent des capes et porte une ceinture où il accroche des couteaux. Il a avec lui une épée en métal, qu’il range dans un fourreau où est gravé un serpent masqué.
  
  
• Mentale: D'un radical très franc, il ne supporte pas qu'on lui mente. Il est souvent calme, hormis quand il se met en colère, où parfois ça peut prendre des proportions légèrement abusives. Il est très parieur, et perd plus souvent ces paris qu'il ne les gagne. Il est susceptible, orgueilleux et n'ai pas très patient, bien que ça lui arrive de faire des efforts. Il ne supporte pas la foule, ça le stress et l'angoisse. Il aime s'isoler, et à tendance à être très froid. Il n’aime pas sa famille et ne supporte pas d’en parler, il déteste son père et toutes les personnes qui vivent dans son village d’enfance, d’ailleurs il n’y est jamais retourné depuis qu’il était parti, et ce n’était certainement pas prêt d’arrivé. Bien qu’il sait pertinemment qu’il n’avait pas le choix d’un jour y retourner. Il est têtu, parfois même un peu arrogant, il déteste d’ailleurs qu’on lui en fasse la remarque. Il déteste la moquerie, ayant été victime de cela enfant. Il peut changer d’humeur en une fraction de seconde, il lui arrive de faire des choses pour les autres mais seulement quand il en a envie.
  
  

Histoire

15 ans plus tôt :

Aujourd’hui allait être célébrer deux évènements, l’un étant plus important que l’autre selon le clan. Tout d’abord mon anniversaire qui n’intéressait visiblement personne, ce qui préoccupait tout le monde c’était ma passation. Cette dernière tout le monde l’avait vécu, enfin ceux qui avaient plus de 10 ans, parce que c’était à cette âge que l’on subissait l’épreuve du passage à l’âge adulte, à vrai dire je ne savais pas à quoi il consistait, personne n’en parlait jamais.

Mais j’avais cru comprendre que ça n’allait pas être quelque chose de drôle, ça allait être comme il y a quelque mois où père était venu me chercher alors que j’étais avec des copains en train de jouer, il m’avait entrainé dans notre maison mère pleurait sur le sol de l’entrée, je ne l’avais jamais vu dans cet état, mais en même temps je ne l’a voyais presque jamais, elle avait détourné son regard du mien, continuant à pleurer.

Dans l’autre pièce se tenait un bébé, il semblait tout petit, père m’avait dit que c’était ma sœur. Puis il m’avait tendu un couteau et m’avait dit de la tuer, en ajoutant que ça m’aiderait pour la passation. Alors j’avais fait ce qu’il m’avait demandé, je lui avais d’abord tranché la gorge pour ne plus l’entendre pleurer, et ensuite j’avais enfoncé mon couteau un nombre incalculable de fois dans sa peau.

La seule chose qui m’avait marqué c’était la quantité de sang qui pouvait sortir d’un si petit corps, mon visage avait été éclaboussé plusieurs fois. Au bout d’un moment mon père m’avait dit d’arrêter, ce que j’avais fait aussi tôt, ne voulant pas le contrarier. Puis il m’avait demandé de sortir et d’aller me nettoyer, en passant devant ma mère celle-ci se mit à pleurer de plus en plus fort, je l’avais ignoré, et j’étais parti.

Mais aujourd’hui on m’avait donné une tenue spéciale, les vêtements de passation, et puis on m’avait emmené dans la forêt sans me demandé mon avis, il faisait nuit sombre un peu froid aussi. Au bout d’un moment on s’arrêta, c’est là que je l’a vit, au début je ne comprenais pas pourquoi elle était attaché, je ne comprenais pas non plus la peur dans son regard. Mais lorsque l’on me tendit une épée, en me disant que ce serait la mienne jusqu’à ma mort, là je su ce que j’allais devoir faire, on me le confirma.
Je n’avais pas envie de le faire, d’ailleurs je restais à distance, pourtant je n’avais pas le choix tous les regards convergeaient vers moi, alors je m’approchais lentement, j’espérais que ça n’allait pas être douloureux. Je fis glisser mon épée contre la peau de son cou, j’avais mis toutes mes forces. Lorsque sa tête s’était décroché de son corps et avait roulé sur le sol j’avais failli vomir, étrangement elle continuait de me fixer.

Après on était resté là les plus vieux avaient bu en me racontant l’histoire de notre clan. En fait c’était plus tôt simple, un homme adulte se mari à vingt ans, sa femme tombe enceinte, si c’est une fille il l’a tu à la naissance et si c’est un garçon, il la garde et tu tous les enfants que sa femme a après celui-ci, à moins que ce dernier ne meurt.

Une fois que l’enfant arrive à la passation à dix ans, il tu sa mère. J’avais dit que si on se débarrassait des filles à la naissance on aurait plus de femme pour le clan, l’un d’eux m’avait répondu que l’on trouvait les femmes dans les autres villes, je leur avais dit que ça devait être dur de les convaincre de venir, ils avaient ri, et moi je n’avais pas compris. Ensuite on m’avait marqué dans la nuque, un croissant de lune entouré d’un serpent et sur le poignet un serpent masqué. Ce qui était censé symbolisait mon appartenance à l’ordre des hommes de l'obscurité, en fait c'était plus tôt une bande de voleur.

De nos jours :

J’attendais derrière le buisson que l’homme passe à ma hauteur, lentement j’avais vidé ses poches, j’avais trouvé ce que je cherchais, un papier froissé, je disparaissais dans les ruelles étroites, me dirigeant vers la taverne où je pourrais lire tranquillement ma trouvaille. J’avais mis du temps à pouvoir obtenir cette chose qui me paraissait sans valeur, mais l’homme qui m’avait bien payé pour le trouver avait lui visiblement pas le même avis que moi. C’était pour ça que je voulais voir ce que contenais ce document. Je ne fus pas déçu, ce document ne contenait que des chiffres et des lettres qui ne formaient que des choses incohérentes. J’allais partir pour le rendre à l’homme qui allait me donner une belle somme pour mon travail avant de me dire que je pourrais trouver quelqu’un qui me déchiffrerais ce charabia, je fis donc demi-tour. Je disparaissais dans la nature comme à chaque fois.