Loin des yeux, loin du cœur ;
Tu me répètes sans cesse que tu es là
Alors aujourd’hui c’est à moi d’être à l’heure
Pour te montrer que malgré tout je pense à toi.

Alors voilà, je prends mon stylo
En espérant qu’avec mes mots,
Les tragédies passées ferment les rideaux
Et les coups de théâtre ne nous fassent plus de maux.

J’ai longtemps réfléchi
A ce que je pouvais t’offrir,
Un verre de lait,
Un creeper de minecraft,
Une séance Transformers,
Un concert Disney
Ou la chanson Dovahkiin…

Mais rien n’était parfait pour toi.
J’aurai aimé pouvoir te serrer dans mes bras,
Te montrer comme je tiens à toi
Car Doriane tu es importante pour moi.

Les épreuves, la vie, toutes ces choses
Font que maintenant je me rends compte
Des conneries que j’ai faites. Alors j’ose
En ce jour te demander pardon…

Notre passion est devenue tension,
Notre amitié, une simple relation,
Mais je sais qu’au fond de mon cœur,
J’ai toujours avec moi cette grande sœur.

Je crois que la peur de te perdre,
De ne plus te voir,
Ont fait de moi une personne acerbe
Mais je te pleurais au désespoir le soir.

Je me suis haïe, détestée
Pour ce que je t’ai fait subir
Tu avais besoin de moi, je t’ai laissé
Aujourd’hui, je voudrais te redonner le sourire.

La honte me ronge encore,
En écrivant, mes lèvres je mords,
Les larmes me montent aux yeux
Alors que je te fais ces aveux.

Je sais mes erreurs et je m’en veux,
Car par ma faute, on se parle très peu.
Je ne veux plus de disputes entre nous,
Seulement des cœurs, des câlins, des bisous…

Je prie Imrinna encore et encore,
Pour t’entendre chanter de nouveau,
T’écouter rire, te voir sourire comme à St Fargeau,
Mais surtout me rappeler à quel point j’ai une grande sœur en or…