Aliénor Alba
Hybride – Mage blanche et humain
♦ Nom : Alba
♦ Prénom : Aliénor
♦ Surnom : Ali
♦ Age : 25 ans
♦ Sexe : Féminin
♦ Race : Hybride
♦ Clan : Les soldats de l’équilibre
♦ Rôle : Soigneuse
♦ Divinités Vénérés : Aucune
♦ Date de Naissance : Le 15e jour de la saison chaude
~ Description Physique ~
Aliénor est une jeune femme de 25 ans arborant une longue et opulente chevelure noire jais qui lui va aux reins et presque toujours attachés en tresse. Ses yeux ont la couleur du miel et sa peau est halé dû au fait quelle se déplace beaucoup. De taille moyenne, elle à une musculature importante pour une femme, ce qui lui confère un bon avantage dans les combats. Aimant les vêtements pratique et discret, elle est toujours vêtu d’un pantalon vert forêt ample, d’une chemise beige et d’une cape pour la tenir au chaud et la protéger de la pluie.
~ Description Morale ~
Lorsqu’elle s’occupe de ses patients, Aliénor agit avec patience, tendresse et dévouement. Elle sait apaiser les inquiétudes et calmer les peurs, c’est le seul moment où elle ne craint pas d’être elle-même. Par contre, lorsqu’elle est hors de son travail, elle est une toute autre personne. Solitaire et méfiante, elle ne fait confiance à personne. Protectrice envers le peuple, elle hésite jamais à protéger les sans-défenses et les opprimés que se soit par des pourparlers ou avec son épée.
~ Armes et Pouvoirs ~
♦ Armes : Couteau des mages (arme offerte par sa mère et qui se transmet dans la famille de génération en génération)
Épée
♦ Pouvoirs :Guérison
~ Histoire ~
Je suis Aliénor Alba, hybride et je n’ai ma place nulle part. La famille de ma mère ne m’a jamais reconnue. Je serais invisible que ça ne changerait rien. Ma mère, mage blanche a épousée un simple humain, rompant pour la première fois la pureté du sang de l’une des plus ancienne famille du royaume. Ma mère est une grande guérisseuse, alors, ne souhaitant pas se privé de son don, sa famille ne la chassa pas, mais passa sa hargne sur moi. Je dû subir moqueries, bousculades, insultes et ont m’interdit de fréquenter les autres enfants par crainte que mon sang ne les contaminent. Mes parents espéraient que ça change, mais au contraire, ça empirait. Alors, la sixième années de ma naissance, nous partîmes tout les trois de la forêt de l’Ingolvar pour s’installer dans un village d’humain où ils espéraient que je puisse enfin avoir des amis. C’est ce qui arriva.
Je vécue six merveilleuses années avec un petit groupe d’enfants de mon âge. Mes journées s’écoulaient paisiblement entre les tâches quotidiennes, les enseignements de ma mère qui m’aidait à développer mes pouvoirs de guérisons et mes jeux d’enfants. La veille de ma douzième année, mes amis et moi étions parti dans les bois à la recherche de champignons pour le repas du soir. C’est à ce moment que nous sommes tomber, pour notre plus grand malheur, sur trois de mes cousins, âgé respectivement de 15,16 et 17 années. Je n’ai jamais su s’ils m’avaient rechercher où si c’est le hasard qui me mit en leur présence, mais le résultat fut le même. Ils m’insultèrent et me frappèrent, mes amis, prenant peur, s’enfuirent dans toutes les directions. Aucune aide ne me vient des humains ce jour là. Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à leur gardé rancune d’avoir fuit, mais aucun d’eux n’alla chercher de l’aide. Mes parents sont parti à ma recherche la nuit tomber lorsqu’ils virent que je ne revenait pas et me retrouvèrent inconsciente. Ma mère me veilla toute la nuit et le lendemain le conseil du village frappa à notre porte pour nous expulser du village déclarant que nous étions une menace pour ces habitants. N’ayant pas le choix, nous fîmes nos bagages et quittèrent le village sous les menaces et les insultes de ceux qui, autrefois, avaient été des amis fidèles.
Dans notre maison des bois, nous étions très isolé, donc vulnérable aux attaques, mon père m’apprit à me battre à l’épée. J’apprenais vite et en quelques années j’étais devenue presque aussi habile que lui. Mais je n’étais pas vraiment heureuse. Mes parents en étaient bien conscient et un jour ils me convainquirent de partir. Voyager de par le royaume et d’offrir mes services de guérisseuse. Depuis se jour, je suis en déplacement constant. Je trouve un certain réconfort dans le soulagement de la souffrance, mais je ne reste jamais longtemps au même endroit, je ne tisse aucun lien, je crains trop une nouvelle trahison.
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