Nom: Amnel
Prénom: Cara
Âge: 17 ans
Sexe : Féminin
Race: Elfe
Clan: Soldats de l’équilibre
Caractéristiques physiques:
Bien que ma silhouette fragile s’harmonise parfaitement avec la forêt, ma peau pâle, presque translucide, se détache des teintes de celle-ci. Cependant, mes vêtements plutôt verts et marrons rétablissent l’équilibre. De longs cheveux blond encadrent mon visage fin, desquels dépassent mes oreilles pointues principale caractéristique de ma race. Mon petit nez retroussé passe presque inaperçu à côté de mes yeux vairons, l’un bleu et l’autre vert.
Caractéristiques morales:
Mes idéaux me viennent pricipalement de mes parents, qui sont profondément pacifistes. Ayant grandi dans une communauté elfique, je n'ai pas pu me construire mes propres idées, étant donné qu'une seule façon de voir le monde m'a été offerte. J'ai donc hérité du pacifisme, de la générosité, de la bonté de mon peuple. Je suis également assez observatrice, et mes sens aiguisés me permettent d'éviter des ennuis. Mon empathie m'aide à mieux comprendre le monde que je ne connais pas encore assez.
Pouvoirs: Guérison ; Chronokinésie ; Empathie
Armes: Un arc elfique
Histoire:
Je suis la petite dernière d'une famille de sept enfants, dont six filles. Mon frère, se sentant profondément exclu et mal aimé, y compris par mes parents, s'enfuit. Suite à ce drame, mon père partit à sa recherche. Il n'est jamais revenu. J'avais alors cinq ans. Leurs disparitions m'ont énormément attristée et ont marqué mon enfance. J'ai donc vécu uniquement avec des femmes. Aucun objet de la chambre de mon frère n'a jamais été déplacé. C'est en y entrant, un jour, que j'ai découvert la plus magnifique chose qu'il m'ait été donnée de voir. Un superbe arc elfique était soigneusement rangé dans son armoire. J'appris à m'en servir seule, en cachette de mes soeurs et de ma mère. A force d'entrainement, je devins plutôt douée. C'était le seul passe-temps qui m'intéressait vraiment. Une fois cependant, une personne passa entre ma cible et moi au moment où je décochais ma flèche. J'eus tellement peur que j'aurais souhaité figer le temps ! Et c'est ce que je fis. C'est ainsi que mes pouvoirs, peu à peu, se dévoilèrent. Cacher cet aspect de moi-même devenait de plus en plus difficile, et c'est ainsi qu'une idée germa petit à petit dans mon esprit: partir. Cela m'effrayait, moi qui n'était jamais sortie du cocon familial, mais je sentais que c'était là la meilleure solution. Ne voulant pas détruire ma mère comme le fit la disparition de mon frère et mon père, je lui en parlais longuement avant. Enfin, je quittais ma famille et me lançais dans ce qui représentait pour moi, je le savais, mon avenir.